Je suis, tu es, il ou elle est, … Polyphonie existentielle de l’intersubjectivité à partir de laquelle se conjugue « nous sommes ».
Mais alors par quel travail de liaison, de transformation et de différenciations’articulent cette singularité du je, cette altérité du tu ? Dans quelle unité imaginaire tolérante aux conflits s’enracine ce corps fantasmé, donnant à chacun à la fois la certitude narcissique d’une appartenance et l’angoisse de s’y perdre ?
Quels organisateurs structuraux, quelles identifications, quels scénarii culturels mythiques ou idéologiques dynamisent et structurentles groupalités instituées aliénantes ou libératrices nous engageant à nous y reconnaitre en tant que sujet de l’inconscient ?
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